- « La photo représente bien mon métier et la fierté de manier le zinc, d’apporter du plaisir au client s’il veut des structures différentes de celles que l’on connaît habituellement. J’ai vu une descente pluviale en forme de dragon qui m’a beaucoup plu. C’est la première fois qu’on me demande de faire un portrait pour mon métier. Ce n’est pas conné à tout le monde. Cela donne de l’émotion, un ressenti différent de celui du quotidien. » Erico J. « La photo représente bien mon métier et la fierté de manier le zinc, d’apporter du plaisir au client s’il veut des structures différentes de celles que l’on connaît habituellement. J’ai vu une descente pluviale en forme de dragon qui m’a beaucoup plu. C’est la première fois qu’on me demande de faire un portrait pour mon métier. Ce n’est pas conné à tout le monde. Cela donne de l’émotion, un ressenti différent de celui du quotidien. » Erico J.« La photo représente bien mon métier et la fierté de manier le zinc, d’apporter du plaisir au client s’il veut des structures différentes de celles que l’on connaît habituellement. J’ai vu une descente pluviale en forme de dragon qui m’a beaucoup plu. C’est la première fois qu’on me demande de faire un portrait pour mon métier. Ce n’est pas conné à tout le monde. Cela donne de l’émotion, un ressenti différent de celui du quotidien. » Erico J.« La photo représente bien mon métier et la fierté de manier le zinc, d’apporter du plaisir au client s’il veut des structures différentes de celles que l’on connaît habituellement. J’ai vu une descente pluviale en forme de dragon qui m’a beaucoup plu. C’est la première fois qu’on me demande de faire un portrait pour mon métier. Ce n’est pas conné à tout le monde. Cela donne de l’émotion, un ressenti différent de celui du quotidien. » Erico J.
- J’ai l’ambition de faire plein de choses, construire des bâtiments à La Réunion ou même en France. Je pense créer ma propre entreprise en gros œuvre et donner la chance aux jeunes de découvrir le métier. Si tu as un boulot, tu as des projets d’avenir en fait. J’ai envie de développer mon propre style. Ce sera une maison en tôle et au mur à l’intérieur, de l’ardoise, pour donner quelque chose de nouveau sur le plan esthétique et garder le frais. Siradjidine A. J’ai l’ambition de faire plein de choses, construire des bâtiments à La Réunion ou même en France. Je pense créer ma propre entreprise en gros œuvre et donner la chance aux jeunes de découvrir le métier. Si tu as un boulot, tu as des projets d’avenir en fait. J’ai envie de développer mon propre style. Ce sera une maison en tôle et au mur à l’intérieur, de l’ardoise, pour donner quelque chose de nouveau sur le plan esthétique et garder le frais. Siradjidine A.J’ai l’ambition de faire plein de choses, construire des bâtiments à La Réunion ou même en France. Je pense créer ma propre entreprise en gros œuvre et donner la chance aux jeunes de découvrir le métier. Si tu as un boulot, tu as des projets d’avenir en fait. J’ai envie de développer mon propre style. Ce sera une maison en tôle et au mur à l’intérieur, de l’ardoise, pour donner quelque chose de nouveau sur le plan esthétique et garder le frais. Siradjidine A.J’ai l’ambition de faire plein de choses, construire des bâtiments à La Réunion ou même en France. Je pense créer ma propre entreprise en gros œuvre et donner la chance aux jeunes de découvrir le métier. Si tu as un boulot, tu as des projets d’avenir en fait. J’ai envie de développer mon propre style. Ce sera une maison en tôle et au mur à l’intérieur, de l’ardoise, pour donner quelque chose de nouveau sur le plan esthétique et garder le frais. Siradjidine A.
- On dirait que les bâtiments actuels ne sont pas vivants, avec trop de béton. Je suis pour un quartier qui respire, avec des arbres, de la couleur, une variété de matériaux utilisés dans le passé. Je veux redévelopper la nature autour des maisons, un habitat individuel avec des matériaux organiques (bois exotiques non traités comme le cryptomeria par exemple) pour réintroduite une autre façon de vivre. La vie se passe dans la cour devant la maison, avec de quoi planter pour permettre une forme d’autonomie alimentaire. Thomas C. On dirait que les bâtiments actuels ne sont pas vivants, avec trop de béton. Je suis pour un quartier qui respire, avec des arbres, de la couleur, une variété de matériaux utilisés dans le passé. Je veux redévelopper la nature autour des maisons, un habitat individuel avec des matériaux organiques (bois exotiques non traités comme le cryptomeria par exemple) pour réintroduite une autre façon de vivre. La vie se passe dans la cour devant la maison, avec de quoi planter pour permettre une forme d’autonomie alimentaire. Thomas C.On dirait que les bâtiments actuels ne sont pas vivants, avec trop de béton. Je suis pour un quartier qui respire, avec des arbres, de la couleur, une variété de matériaux utilisés dans le passé. Je veux redévelopper la nature autour des maisons, un habitat individuel avec des matériaux organiques (bois exotiques non traités comme le cryptomeria par exemple) pour réintroduite une autre façon de vivre. La vie se passe dans la cour devant la maison, avec de quoi planter pour permettre une forme d’autonomie alimentaire. Thomas C.On dirait que les bâtiments actuels ne sont pas vivants, avec trop de béton. Je suis pour un quartier qui respire, avec des arbres, de la couleur, une variété de matériaux utilisés dans le passé. Je veux redévelopper la nature autour des maisons, un habitat individuel avec des matériaux organiques (bois exotiques non traités comme le cryptomeria par exemple) pour réintroduite une autre façon de vivre. La vie se passe dans la cour devant la maison, avec de quoi planter pour permettre une forme d’autonomie alimentaire. Thomas C.
- J’ai voulu me montrer audacieux, avec l’envie de travailler ou de produire dans le neuf ou la rénovation. Je souhaite créer un mélange entre modernité (technologie, domotique) et la vieille école où on retrouve le lambrequin et la tôle. Je suis pour la, préservation de la maison individuelle pour conserver l’aspect familial de la case créole. Aya T. J’ai voulu me montrer audacieux, avec l’envie de travailler ou de produire dans le neuf ou la rénovation. Je souhaite créer un mélange entre modernité (technologie, domotique) et la vieille école où on retrouve le lambrequin et la tôle. Je suis pour la, préservation de la maison individuelle pour conserver l’aspect familial de la case créole. Aya T.J’ai voulu me montrer audacieux, avec l’envie de travailler ou de produire dans le neuf ou la rénovation. Je souhaite créer un mélange entre modernité (technologie, domotique) et la vieille école où on retrouve le lambrequin et la tôle. Je suis pour la, préservation de la maison individuelle pour conserver l’aspect familial de la case créole. Aya T.J’ai voulu me montrer audacieux, avec l’envie de travailler ou de produire dans le neuf ou la rénovation. Je souhaite créer un mélange entre modernité (technologie, domotique) et la vieille école où on retrouve le lambrequin et la tôle. Je suis pour la, préservation de la maison individuelle pour conserver l’aspect familial de la case créole. Aya T.
- Je suis fier de ma photo. Elle traduit bien mon choix d’architecture, entre le bois, plus traditionnel et la modernité du béton. Je voudrais développer de l’habitat collectif, comme le quartier de la poste, dit « New-York ». Depuis tout petit, mon papa travaille dans le bois et me dit que c’est dangereux. Moi, je dis qu’on peut apprendre. J’aimerais travailler à la fois le bois et la maçonnerie, que je pratique déjà. Mohamed M.T. Je suis fier de ma photo. Elle traduit bien mon choix d’architecture, entre le bois, plus traditionnel et la modernité du béton. Je voudrais développer de l’habitat collectif, comme le quartier de la poste, dit « New-York ». Depuis tout petit, mon papa travaille dans le bois et me dit que c’est dangereux. Moi, je dis qu’on peut apprendre. J’aimerais travailler à la fois le bois et la maçonnerie, que je pratique déjà. Mohamed M.T.Je suis fier de ma photo. Elle traduit bien mon choix d’architecture, entre le bois, plus traditionnel et la modernité du béton. Je voudrais développer de l’habitat collectif, comme le quartier de la poste, dit « New-York ». Depuis tout petit, mon papa travaille dans le bois et me dit que c’est dangereux. Moi, je dis qu’on peut apprendre. J’aimerais travailler à la fois le bois et la maçonnerie, que je pratique déjà. Mohamed M.T.Je suis fier de ma photo. Elle traduit bien mon choix d’architecture, entre le bois, plus traditionnel et la modernité du béton. Je voudrais développer de l’habitat collectif, comme le quartier de la poste, dit « New-York ». Depuis tout petit, mon papa travaille dans le bois et me dit que c’est dangereux. Moi, je dis qu’on peut apprendre. J’aimerais travailler à la fois le bois et la maçonnerie, que je pratique déjà. Mohamed M.T.
- Je me vois souriant, courageux content de mon travail. J’ai choisi l’ardoise car cela donne l’impression de quelque chose de valeur et nous n’en voyons pas beaucoup à La Réunion. Je veux développer la case créole en bois, avec de l’ardoise, dans la maison autant que sur le toit. Karama S. Je me vois souriant, courageux content de mon travail. J’ai choisi l’ardoise car cela donne l’impression de quelque chose de valeur et nous n’en voyons pas beaucoup à La Réunion. Je veux développer la case créole en bois, avec de l’ardoise, dans la maison autant que sur le toit. Karama S.Je me vois souriant, courageux content de mon travail. J’ai choisi l’ardoise car cela donne l’impression de quelque chose de valeur et nous n’en voyons pas beaucoup à La Réunion. Je veux développer la case créole en bois, avec de l’ardoise, dans la maison autant que sur le toit. Karama S.Je me vois souriant, courageux content de mon travail. J’ai choisi l’ardoise car cela donne l’impression de quelque chose de valeur et nous n’en voyons pas beaucoup à La Réunion. Je veux développer la case créole en bois, avec de l’ardoise, dans la maison autant que sur le toit. Karama S.
- J’ai voulu exprimer le courage dans mon portrait. En ce qui me concerne, c’est comme si j’étais déjà dans le métier. J’aime les tuiles comme matériau. C’était passionnant de faire les photos d’autres personnes, j’ai fait en sorte de ne pas décevoir la personne que j’ai photographiée. Samuel C. J’ai voulu exprimer le courage dans mon portrait. En ce qui me concerne, c’est comme si j’étais déjà dans le métier. J’aime les tuiles comme matériau. C’était passionnant de faire les photos d’autres personnes, j’ai fait en sorte de ne pas décevoir la personne que j’ai photographiée. Samuel C.J’ai voulu exprimer le courage dans mon portrait. En ce qui me concerne, c’est comme si j’étais déjà dans le métier. J’aime les tuiles comme matériau. C’était passionnant de faire les photos d’autres personnes, j’ai fait en sorte de ne pas décevoir la personne que j’ai photographiée. Samuel C.J’ai voulu exprimer le courage dans mon portrait. En ce qui me concerne, c’est comme si j’étais déjà dans le métier. J’aime les tuiles comme matériau. C’était passionnant de faire les photos d’autres personnes, j’ai fait en sorte de ne pas décevoir la personne que j’ai photographiée. Samuel C.
- Marie Manecy offre à chaque élève son portrait lors du vernissage de l’exposition grand format dans la ville du Port en 2021. C’est un principe essentiel de chaque projet artistique que Marie mène : les participants sont impliqués dans tout le processus créatif. Ici ils ont réalisé le collage des tirages grand format et l’affichage dans la ville. A l’issue du projet, la fierté se lit sur les visages ! Marie Manecy offre à chaque élève son portrait lors du vernissage de l’exposition grand format dans la ville du Port en 2021. C’est un principe essentiel de chaque projet artistique que Marie mène : les participants sont impliqués dans tout le processus créatif. Ici ils ont réalisé le collage des tirages grand format et l’affichage dans la ville. A l’issue du projet, la fierté se lit sur les visages !Marie Manecy offre à chaque élève son portrait lors du vernissage de l’exposition grand format dans la ville du Port en 2021. C’est un principe essentiel de chaque projet artistique que Marie mène : les participants sont impliqués dans tout le processus créatif. Ici ils ont réalisé le collage des tirages grand format et l’affichage dans la ville. A l’issue du projet, la fierté se lit sur les visages !Marie Manecy offre à chaque élève son portrait lors du vernissage de l’exposition grand format dans la ville du Port en 2021. C’est un principe essentiel de chaque projet artistique que Marie mène : les participants sont impliqués dans tout le processus créatif. Ici ils ont réalisé le collage des tirages grand format et l’affichage dans la ville. A l’issue du projet, la fierté se lit sur les visages !
Lycée Jean Hinglo – Ville du Port
2021
Projet photo thérapeutique
Portrait créatif et identitaire
500$
Le projet est né de la rencontre entre Sophie Martial, une enseignante en arts appliqués passionnée au lycée Jean Hinglo dans la ville du Port et Marie Manecy.
Orienté sur le volet réussite éducative et orientation professionnelle, il est construit en partenariat avec l’école d’architecture et la municipalité. Il s’agit d’appréhender l’architecture de la ville du Port et par extension l’architecture réunionnaise au travers de la photographie et de valoriser les élèves en travaillant leur identité et l’autoportrait photographique. Les élèves se positionnent comme bâtisseurs, en intégrant la vision personnelle du quartier qu’ils souhaitaient construire demain, avec les matériaux qui les ont inspirés lors de leur déambulation photographique dans la ville.
Tous les portraits sont réalisés par les élèves en binôme, dans un studio créé par Marie dans l’atelier du lycée. Très attachée à l’expression de l’identité comme un déterminant de la confiance en soi, la photographe les accompagne pour une prise de vue en autonomie avant de valoriser l’expérience avec leurs mots. Une galerie en ligne est publiée en complément d’une exposition grand format des portraits, affichés dans la ville dans le cadre d’une grande exposition photographique dans toute la ville pendant trois mois en 2021.